Que le mandala soit votre guide, votre confident, votre ressource!
- Choisir un endroit calme, confortable, bien éclairé.
- Créer un rituel si nécessaire avec encens, chandelle, musique.
- Prendre 3 bonnes respirations en se concentrant sur le point central du mandala, cela permet d’être en vibration avec le dessin.
- Placer les crayons sur un plateau de façon à ce que toutes les nuances des couleurs soient bien visibles.
- Une fois le dessin choisi, prendre le temps de lire les pensées, cela va sécuriser le mental.
- C’est le moment de choisir ses couleurs, celles qui nous inspirent. Se laisser guider par l’intuition, non dans le but d’agencer les couleurs. Prendre 5 à 7 crayons en bois, bien aiguiser. Prévoir un aiguisoir.
- Écrire un mot qui traduit notre état actuel avant le coloriage et après: fatigue, impatience, triste, heureux, calme, serein. etc.
- Commencer à colorier du centre vers la périphérie. Suivre le mouvement circulaire, y aller du point central, coloriant chaque forme une après l’autre. Ne pas chevaucher, d’un dessin à la périphérie. Résister à la tentation de colorier toutes les formes semblables qui se retrouvent dans le dessin.
- Un point à ne pas oublier, le centre doit contenir toutes les couleurs, ce qui veut dire qu’à chaque fois que nous utilisons une couleur, déposer une petite touche de la nouvelle couleur dans le point central. Pour se souvenir, faire comme si le centre était un encrier; ainsi par ce simple geste, nous demeurons concentrés et conscients de ce que nous faisons.
- Si un mandala n’est pas terminé la première fois, colorier le 1/3 du dessin, afin de bien habiter son dessin, le dessin peut être terminer dans les jours ou les semaines qui suivent. Il importe de toujours terminer un mandala avant d’en commencer un autre.
- Ne pas avoir trop d’attentes, goûter au plaisir du coloriage. C’est un travail personnel. Apprécier ce temps que l’on s’alloue. Surtout ne pas rechercher la perfection. Le mandala nous offre une occasion d’être nous-même, opter pour la simplicité, l’authenticité, la vérité.
- Accueillir avec souplesse les messages ou les mémoires qui pourraient monter, surtout ne pas craindre ce processus car le mandala agit là où il doit agir, en respectant le rythme de chacun. Si une personne ne veut rien laisser monter qui aurait trait au passé, il en sera ainsi.
- Il est possible de méditer en plaçant son mandala devant soi et poser la question: « Qu’est-ce que j’ai à comprendre? Qu’ai-je à faire pour mon évolution? Quel est le message de l’âme? »
- Chaque cahier mandala amorce un processus, la progression se fait d’un dessin à l’autre. Nous pouvons suivre l’ordre si cela nous convient, sinon, y aller selon notre ressenti.
- Le coloriage et l’écriture faisant bon ménage, il est bénéfique d’écrire les émotions qui montent afin de reconnaître et de pacifier les mémoires qui font surface. Utiliser une feuille ou un cahier et laisser libre cours au monologue intérieur.
Claudette Jacques